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L’expression « extension durable », omniprésente dans les médias et la politique, semble vie du fait que grande ainsi qu’elle porte deux obligations dissemblables impossibles à utiliser sans froisser à l’une des deux. Ce extravagance n’est que le rendu de l’acceptation aveugle d’un postula illusoire beaucoup plus ancien qu’Aristote avait déjà dénoncé vu que l’obtention la plus antagonique à la nature : « l’argent ne fait pas de petits ». En effet, s’il est facilement possible pour une population humaine d’évoluer vers un équilibre, cela ne l’est pas pour une économie fondée sur le prêt à intérêt pour quelle raison croissance continue et génération d’inégalités sont des qualités structurelles. Le présent article dénonce cette leurre du « couramment plus » du fait que unique semer possible et identifie ce qui dans notre économie fonctionne déjà sans usure et qu’il convient de transporter en fonction d’une changement vers l’économie durable.Une bribe des déchet ne peut être, en l’état des évolutions actuelles et de la faisabilité utile, valorisée. Cette division forme les matériau perdu ultimes qui, après réduction éventuelle de leur toxicité, sont stockés dans des centres experts. Ces centre de stockage des déchets dernières ( CSDU ) ou d’enfouissement techniques ( CET ) ont pour projet d’empêcher toutes fuites dans l’environnement qui peuvent causer des pollutions ou navrer la santé humaine.La tendance dite d’habilitation sert à à acharner le base correct des organisations traditionnelles de temps à autre siècles sous prétexte de choix. une fois ce fondation dorénavant pronom conjonctif, il est troqué par un contrat individuel ou européen librement consensuel et bardé par la justice et la police. Mais quid de la liberté des individus, entreprises, collectivités et gens ne pouvant subir en autonomies et pour lesquels le premier attache proposé avec la société est un dossier d’usure ? Ai-je le jugement d’épargner dans une banque qui ne me demanderait que des frais bancaires sans dresser mes économies à intérêt ? Puis-je me installer, étudier, bosser sans gagner des bénéfices ? Le socle d’une morale à notre blog serait l’interdiction pour l’obligation de l’usure en fonction d’une économie qui nous permette d’être en eurythmie avec la nature dont nous dépendons. malgré le danger de s’avérer être un blocage à un « équilibre pérenne », les Nations Unies doivent purifier leurs révélations car pour les actuel d’une économie basée sur le prêt à intérêt, « développement pérenne » se traduit par « croissance pérenne » du fait que l’illustre le harangue de Jacques Attali, conseillé d’Etat : «… La fonction humaine sur la terre est de fournir des richesses… Transformer la Nature c’est bien, la Nature n’est pas bonne en soi. Plus encore, la Nature est l’ennemie de l’Homme. quand on admet que la richesse ça ne fait pas de mal et que la pauvreté c’est pas bien, on déteste les forêts et on adore les jardins, on déteste la campagne et on adore la ville, on aime ce que l’Homme fait et pas ce que la nature lui donne. Et la second chose qui est très profonde dans cette conception est le rapport aux années qui défilent qui change beaucoup : si on admet que le abasourdissement est la richesse de ce fait il faut qu’à tout prix que tout soit renouvelé puisqu’il ne faut pas stocker de richesse. dans le cas où, , on admet que l’abondance n’est pas un dysfonctionnement toutefois qu’il faut l’assumer de ce fait le temps devient un allié et non plus un ennemi. Le temps n’est plus cyclique il avance et l’Homme devient l’histoire du temps et utilise la séance comme une ressources. Dans le premier cas la séance surtout ne doit rien tenir lieu parce qu’il ne faut pas que la séance soit utile, en considérable pas d’intérêt. Alors que dans le second cas le temps a de le cours puisqu’il est le droite sur lequel s’inscrit la réparation du monde boiteux que Dieu nous a laissé et à cet endroit l’intérêt à un sens »[6]. si la morale prescrite par les grandes entreprise trans nationales était précisément débattue, il serait future qu’un tel harangue soit minorité et que la préservation de l’équilibre d’une nature que nous aimons et dont nous dépendons fasse l’unanimité. Cela d’autant plus que l’usure a été condamné par certains civilisations et interdite par les opinion. On peut parler Aristote : ‘ l’intérêt est des fonts originaire d’argent, et c’est de toutes les acquisitions celui qui est la plus inverse à la nature ‘ [7], ou alors l’interdiction de l’usure dans les honnêtes civils de l’Ancien Régime, par les foi asiatiques et les supports textuels fondateurs des trois monothéismes.La gestion pérenne des déchet peut être déclinée en plusieurs partie, d’habitude de plus en plus vertueuses ( au rythme de l’avancée ), mais avec seulement des impossibilité ou fausses vertus qui amènent à gérer une grand précaution dans les choix d’actions généralisées et dans les actions d’information du public. Tout exactement, il convien‑ dra d’éviter les choix d’extension géographique ou la généralisation psychologique pure et sim‑ ple d’alternatives qui semblent idéales.Des universitaires puisque paul Friot ainsi que les chercheurs adeptes à l’Institut Européen du Salariat ont décrit le but affranchisseur du activité de blocus par distribution, donc sans bénéfices, des retraites et de la santé. Rapporté aux 1998 dose de notre création annuelle ( PIB ) cela constitue 550 mds, contre 650 pour les salaires et 700 pour les traders qui gardent 300 mds sous forme d’intérêts pour n’en réinvestir que 400[9]. Etendre le système de collecte à l’investissement serait d’un côté plus que possible, mais libérerait une partie importante de l’économie de l’usure. L’entreprise libérée de l’investisseur pourrait camper une visée autre que la création maximum d’intérêts comme par exemple la durabilité ou besoin des avantages établis. De plus, 300 mds annexes correspondant aux passés bénéfices des traders pourraient être disponibles pour ces objectifs.Les collectes sélectives, notam‑ ment d’emballages ménagers, et le sélectionne au préalable par les habi‑ tants sont considérés très habituellement du fait que l’exem‑ ple d’une gestion durable des déchets. Ce opinion est nettement partagé par l’opi‑ nion‑ : les citoyens attendent fréquemment cette proposition de la part des propriétaires locaux et s’y soumettent par la suite dans des formes encore très variables, mais réellement. Sans retracer ici tous les outils mis en œuvre pour réconforter, particulièrement en France, cette vision jugée plus pérenne de le contrôle des déchet, il faut en rappeler quelques caractéristiques très éclatante dans une politique générale de développement pérenne.