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Le expansion durable doit être tellement économiquement couronné de succès, socialement équitable et écologiquement supportable. Le social doit demeurer un but, l’économie une méthode et l’environnement une condition. Le extension est « pérenne » s’il à été conçu de façon à en garantir la continuité du profit pour les générations futures. Les développement durable ne sont effectivement pas infinies. La faune, la flore, l’eau, l’air et les planchers, obligatoires à notre éternité, sont en bande de détérioration. Ce constat de rareté et de finitude des préservation des ressources naturelles se traduit par la nécessité ces grands équilibres écologiques pour épargner nos sociétés et la vie sur Terre. Parmi les principaux problématiques environnementaux, les soucis suivantes sont identifiées :Enjeux économiques, sociaux et environnementaux composent ainsi les enjeux du extension durable. Cependant, ils ont l’air parfois contraire avec la société de prise où nous vivons. Mais notre orbe en dépend désormais, et l’économie par exemple la croissance doivent être reconsidérées afin de tendre vers compagnie « plus sobre » pour relever ces problématiques.La question des chute permet une approche idéale et concrète du extension durable. En effet, elle cristallise les problè‑ mes d’environnement ( ainsi que les problèmes sociaux ou éco‑ nomiques liés ) sous un modèle immédiatement perceptible‑ : chacun de nous produit cha‑ que jour des déchet, sait ce qu’est un benne d’ordu‑ res avec son personnel et peut aussi au quotidien servir soit à une meilleure gestion ( mise à la bac, tri ), soit à une élimination peu respec‑ archère de l’environnement.Les déchets organiques ont pour obligation de également être réduits car un troisième de nos poubelles est constitué de matières organiques. Cela constitue une centaine de kilos par année et par personne. Ces déchet jetés dans une bac mariée doivent obligatoirement être par la suite traités dans un centre et finiront brûlés dans un incinérateur. Même si le reste est organique, son traitement gaspillera de l’énergie alors qu’il est biodégradable. La réponse est donc de composter vos déchets organiques. Le amendement ainsi obtenu est très riche et prolifique, un véritable phénomène pour vos végétaux ! La grille des aliments compostables est longue : vous pouvez affranchir les épluchures de légumes et de crudités, les déchet verts de vos plantes, les restes, le , le eau-de-vie de café, les illusions d’œuf brisées, les débris de repas végétariens…Les rognure ne sont effectivement pas impropres à la consommation. La plupart des peaux, fanes, tiges et pelures des fruits pourraient tout à fait se se régaler, à condition qu’ils soient naturels ! En effet, ces zones extérieures des fruits et légumes peuvent contenir des herbicide. Les épluchures sont frites ou grillées au four. Elles ont la possibilité aussi offrir du goût à vos consommé. Les fanes ( feuilles ) des carottes, des radis… peuvent être utilisées pour faire du pesto, des veloutés, des gratins… Essayez, c’est tolérant !Contrairement au développement, le extension pérenne est une croissance qui prend en compte trois dimensions : économique, environnementale et sociale. Les trois piliers du développement pérenne qui sont souvent employés pour le spécifier sont à ce titre : l’économie, le social et l’environnement. La caractéristique du extension durable est de se tenir au carrefour de ces 3 piliers. Le mot de extension pérenne émerge au début les années 70-80 dans des écrits scientifiques. L’un des premiers contenus référencés faisant utilisation de ce concept dans le sens maintenant est le Rapport du Club de rome « Halte à la croissance », mais on en rencontre des occurrence dans d’autres contenus de la même période dans des techniques nombreux. Ce rapport paru en 1972 et écrit par 2 scientifiques du MIT tentait de questionner notre modèle de développement fondé sur la croissance utile infinie dans un monde aux avoir finies. Il montrait de ce fait les limites écologiques de notre modèle.


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